vendredi 23 mars 2018

petit pincement






3 commentaires:

  1. Tout pareil. Les fausses couches ont eu lieu après mon premier enfant qui du coup restera la seule unique. Quand on me dit que j ai déjà la chance d en avoir eu une, j essaie de nier ces presques riens qui sont toujours bel et bien là, j y arriverai peut être dans quelques années...

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    1. ou pas. ils seront toujours là, mais moins douloureux...

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  2. Je pense que les "presque rien" font partie intégrante de la famille... c'est juste qu'ils ne sont pas "en chair et en os" :)j'ai fait une fausse couche avant d'avoir mon fils. C'était une éventualité à laquelle j'étais prête (bcp de fc dans mon entourage), donc "je l'ai plutôt bien vécu", mais quand même, il m'a fallu un an pour vraiment vider tout ce qu'il y avait à vider autour de ça, et surtout, je verbalise que mon fils "est une seconde grossesse" et que le petit être qui a passé son tour n'est pas vécu comme un souvenir mortifère, mais fait partie intégrante de notre histoire familiale. Ca m'aide beaucoup :)Je crois que lui laisser une vraie place, la bonne, la sienne (et pas une "presque place"), c'est le meilleur moyen pour moi d'intégrer cette expérience de vie sainement.

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